Il y a dix minutes, j'étais en train de lire la presse en ligne avec le sentiment que toutes ces nouvelles ne me concernaient pas. Lorsque les "événements" que relatent les journaux sont liés à la France, cette impression est d'autant plus prononcée : je me sens encore moins concerné. Je lis les infos comme si j'avais quitté ce pays depuis longtemps et je ne sens en rien impliqué dans ces histoires politiques, économiques, ces faits de sociétés qui me sont totalement étrangers et me paraissent même étranges.
En me retirant de la bloggosphere, je me retire encore un peu plus de ce qui touche à la vie au quotidien dans ce pays. Je viens de lire quelques articles qui traitent de la crise économique, mais ça ne me parle pas, ça ne me dit rien : ça se passerait sur Mars ou Pluton, ça me ferait le même effet.
Il est évident qu'avec un tel état d'esprit, je ne peux pas continuer à m'intéresser aux blogs qui ne parlent que de cette catégorie de choses, c'est à dire de politique au sens large, compris comme l'organisation de la cité. Je publie ces remarques en imaginant qu'il y a quelques personnes qui se demandent encore pourquoi Cloudy Days reste inactif. Je sais que dans les semaines qui vont suivre, à l'instar des deux ou trois années précédentes, l'activité sur la franco-sphère va redoubler, et puis, avec l'arrivée de l'été et des vacances scolaires, presque tous les blogs seront laissés de côté, à l'abandon. Pourtant, je ne pense pas participer à ce rush de fin de printemps, je crois que le blogging, considéré sous l'aspect d'un échange régulier de points de vue, ne sera pas, pour moi, à l'ordre du jour avant l'automne prochain. Et l'automne prochain, c'est encore loin.
Pour l'instant, Cloudy Days reste fermé aux commentaires.
En me retirant de la bloggosphere, je me retire encore un peu plus de ce qui touche à la vie au quotidien dans ce pays. Je viens de lire quelques articles qui traitent de la crise économique, mais ça ne me parle pas, ça ne me dit rien : ça se passerait sur Mars ou Pluton, ça me ferait le même effet.
Il est évident qu'avec un tel état d'esprit, je ne peux pas continuer à m'intéresser aux blogs qui ne parlent que de cette catégorie de choses, c'est à dire de politique au sens large, compris comme l'organisation de la cité. Je publie ces remarques en imaginant qu'il y a quelques personnes qui se demandent encore pourquoi Cloudy Days reste inactif. Je sais que dans les semaines qui vont suivre, à l'instar des deux ou trois années précédentes, l'activité sur la franco-sphère va redoubler, et puis, avec l'arrivée de l'été et des vacances scolaires, presque tous les blogs seront laissés de côté, à l'abandon. Pourtant, je ne pense pas participer à ce rush de fin de printemps, je crois que le blogging, considéré sous l'aspect d'un échange régulier de points de vue, ne sera pas, pour moi, à l'ordre du jour avant l'automne prochain. Et l'automne prochain, c'est encore loin.
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