Souvent j’en croise, à présent, des indignés qui ramènent … C’est que des pauvres culs coincés … des petits potes, des ratés jouisseurs … C’est de la révolte d’enfifré … C’est pas payé, c’est gratuit … Des vrais godilles … Ca vient de nulle part … du Lycée peut - être … C’est de la parlouille, c’est du vent. La vraie haine, elle vient du fond, elle vient de la jeunesse, perdue au boulot sans défense.Céline, Mort à crédit
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