Un an d'abonnement gratuit à "Someday, Somewhere" au lecteur qui sera le premier à trouver le nom de l'auteur des quelques lignes qui ornent cette planche.
Premier amour d'Ivan Tourgueniev : "Prends ce que tu peux, mais ne te laisse jamais prendre ; ne s’appartenir qu’à soi-même, être son propre maître, voilà tout le secret de la vie » magnifique!
J' adore le graphisme et le passage choisit,tes goût sont toujours aussi juste, mon ami.
"Mon sang s'agitait, mon cœur se lamentait avec une gaieté douce ; j'attendais quelque chose, effrayé de je ne sais quoi, toujours intrigué et prêt à tout. Mon imagination se jouait et tourbillonnait autour des mêmes idées fixes, comme les martinets, à l'aube, autour du clocher. Je devenais rêveur, mélancolique ; parfois même, je versais des larmes. Mais à travers tout cela, perçait, comme l'herbe au printemps, une vie jeune et bouillante. "
Je tressaillis et restai interdit... il fallait dès à présent penser à offrir un an d'abonnement à Christelle, l'auteur de ces quelques venait d'être dévoilé.
Je suis très content de te savoir de retour Christelle, car je pensais que tu avais définitivement abandonné ton blog.
La ligne 9 est de nouveau en service et je ne vais pas tarder à la prendre pour sortir de l'impasse dans laquelle je me suis collé.
Haaaaa, Flybird, je n'ai pas besoin de t'offrir un abonnement, tu es abonnée d'honneur, inscrite pour l'éternité... sans toi ce blog péricliterait rapidement et ne serait que ruine ;-)
"Prend ce que tu peux, mais ne te laisse jamais prendre..." est une excellente maxime.
Je t'invite à t'assoir dans un des wagons de le ligne 9 avec le roman de Tourgueniev pour poursuivre le voyage: c'est le weekend, changeons de quartier. Et merci pour tes compliments...
La ligne 9 est en service réduit, je n'ai pas le courage de pourfendre la banalité des discours bien-pensants, prévisibles et formatés à l'identique ; et puis, tu le fais déjà si bien ! Finalement, c'est mon amour de la pasta - mais pas des Panzani - qui m'a ramenée chez toi ! Continue !
Dites donc, jeune homme, croyez-vous qu’il soit permis de dévisager de la sorte des demoiselles que vous ne connaissez pas ?
ReplyDeletePremier amour d'Ivan Tourgueniev :
ReplyDelete"Prends ce que tu peux, mais ne te laisse jamais prendre ; ne s’appartenir qu’à soi-même, être son propre maître, voilà tout le secret de la vie » magnifique!
J' adore le graphisme et le passage choisit,tes goût sont toujours aussi juste, mon ami.
ReplyDelete"Mon sang s'agitait, mon cœur se lamentait avec une gaieté douce ; j'attendais quelque chose, effrayé de je ne sais quoi, toujours intrigué et prêt à tout. Mon imagination se jouait et tourbillonnait autour des mêmes idées fixes, comme les martinets, à l'aube, autour du clocher. Je devenais rêveur, mélancolique ; parfois même, je versais des larmes. Mais à travers tout cela, perçait, comme l'herbe au printemps, une vie jeune et bouillante. "
Je tressaillis et restai interdit... il fallait dès à présent penser à offrir un an d'abonnement à Christelle, l'auteur de ces quelques venait d'être dévoilé.
ReplyDeleteJe suis très content de te savoir de retour Christelle, car je pensais que tu avais définitivement abandonné ton blog.
La ligne 9 est de nouveau en service et je ne vais pas tarder à la prendre pour sortir de l'impasse dans laquelle je me suis collé.
Haaaaa, Flybird, je n'ai pas besoin de t'offrir un abonnement, tu es abonnée d'honneur, inscrite pour l'éternité... sans toi ce blog péricliterait rapidement et ne serait que ruine ;-)
ReplyDelete"Prend ce que tu peux, mais ne te laisse jamais prendre..." est une excellente maxime.
Je t'invite à t'assoir dans un des wagons de le ligne 9 avec le roman de Tourgueniev pour poursuivre le voyage: c'est le weekend, changeons de quartier. Et merci pour tes compliments...
La ligne 9 est en service réduit, je n'ai pas le courage de pourfendre la banalité des discours bien-pensants, prévisibles et formatés à l'identique ; et puis, tu le fais déjà si bien !
ReplyDeleteFinalement, c'est mon amour de la pasta - mais pas des Panzani - qui m'a ramenée chez toi !
Continue !
Et les autres,
ReplyDeleteCeux qui arrivent trop tard,
pas d'abonnement ?
Ben mince alors.
Je vais réfléchir, Florence, et essayer de trouver un lot de consolation pour les lèves-tards :-)
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