Une étude menée par l’Institut de criminologie de Basse-Saxe auprès de 45 000 écoliers de 9e année, soit entre 14 et 16 ans, indique qu'un adolescent sur trois estime qu’il y a trop d’étrangers en Allemagne et un sur cinq qu’il faudrait en renvoyer chez eux à cause de la suppression des postes de travail. «L’étude est alarmante, car elle montre un lien entre le niveau d’éducation des jeunes et leur penchant pour les groupes extrémistes de droite, et reflète ainsi l’importance de l’antisémitisme», s’est alarmée Charlotte Knobloch, présidente du Conseil central des juifs d’Allemagne.
A peine 2% des gymnasiens avouent en effet des opinions extrémistes, contre 10% des écoliers du primaire ou 5% des Realschule, les collèges techniques. Grandes différences aussi entre filles et garçons, celles-ci étant en général la moitié moins extrémistes que les garçons. Diversité enfin selon les régions: moins il y a de contacts avec les étrangers, plus il y a de racisme et de xénophobie. Les écoliers de l’Allemagne orientale, mais aussi du sud (en Bavière), présentent la plus forte tendance à adhérer aux idées d’extrême droite, alors que celles-ci sont nettement moins présentes dans le nord ou dans les villes ayant un fort taux d’immigrés.
Mais si on en croit Criticus, une situation similaire est totalement impensable pour la France. Sauf qu'il n'a pas pu expliquer pourquoi la France échapperait à ce phénomène inquiétant, celui d'un retour en force de la xénophobie en Europe.
A peine 2% des gymnasiens avouent en effet des opinions extrémistes, contre 10% des écoliers du primaire ou 5% des Realschule, les collèges techniques. Grandes différences aussi entre filles et garçons, celles-ci étant en général la moitié moins extrémistes que les garçons. Diversité enfin selon les régions: moins il y a de contacts avec les étrangers, plus il y a de racisme et de xénophobie. Les écoliers de l’Allemagne orientale, mais aussi du sud (en Bavière), présentent la plus forte tendance à adhérer aux idées d’extrême droite, alors que celles-ci sont nettement moins présentes dans le nord ou dans les villes ayant un fort taux d’immigrés.
Mais si on en croit Criticus, une situation similaire est totalement impensable pour la France. Sauf qu'il n'a pas pu expliquer pourquoi la France échapperait à ce phénomène inquiétant, celui d'un retour en force de la xénophobie en Europe.
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