Un journaliste de La Repubblica, Paolo Berizzi, dresse un tableau impressionnant du néofascisme. Il a enquêté au sein des partis politiques, dans les stades, les centres sociaux et les écoles. Il en ressort des chiffres préoccupants.
Selon lui, il y a dans l’Italie d’aujourd’hui «au moins 150 000 jeunes Italiens de moins de 30 ans qui vivent dans le culte du fascisme et du néofascisme, dont certains cultivant le mythe d’Hitler». Depuis quelque temps, la nostalgie du Duce séduit d’ailleurs de plus en plus les jeunes. Jamais les visites sur la tombe de Benito Mussolini n’ont été aussi nombreuses. La vague noire touche tout le pays: du Trentin à la Calabre en passant par la Lombardie et le Latium. La capitale, Rome, recense selon le journaliste, 50 000 néofascistes. [suite]
Selon lui, il y a dans l’Italie d’aujourd’hui «au moins 150 000 jeunes Italiens de moins de 30 ans qui vivent dans le culte du fascisme et du néofascisme, dont certains cultivant le mythe d’Hitler». Depuis quelque temps, la nostalgie du Duce séduit d’ailleurs de plus en plus les jeunes. Jamais les visites sur la tombe de Benito Mussolini n’ont été aussi nombreuses. La vague noire touche tout le pays: du Trentin à la Calabre en passant par la Lombardie et le Latium. La capitale, Rome, recense selon le journaliste, 50 000 néofascistes. [suite]
M...E alors....pfou...pas mon Italie ....
ReplyDeleteTon Italie aussi, Astrale, comme pour le reste de l'Europe; parce que je ne comprendrais pas pourquoi les Italiens échapperaient à cette recrudescence de la volonté de rechercher et de désigner un bouc émissaire.
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