Pour Patrick Baudry, au regard d'un film-x, c’est l’excitation féminine qui est spectaculaire, l’excitation masculine va de soi et accompagne la performance de l’actrice car c’est elle qu’on juge essentiellement.
Je ne sais pas pourquoi, je fais un rapprochement entre ce que décrit, ici, Patrick Baudry et la tauromachie, l'évaluation critique des aficionados... Poor cows...
C’est elle qui s’observe surtout et dont on apprécie les talents et le professionnalisme. C’est moins l’érection qui se regarde que le résultat d’une fellation, ou moins l’éjaculation que sa capacité masturbatoire ou sa bouche. Ce sont les lèvres et ses yeux que l’on juge, le mouvement de ses fesses et la forme qu’elle donne à ses seins. C’est la mine de son excitation que l’on guette. Ce sont ses mouvements de langue, le creusement de ses joues, son regard qui s’évaluent. C’est son maquillage et son vernis à ongles, l’ondulation de ses cheveux, ses gémissements et les mots qu’elle prononce qui sont surtout testés.
A quand l'homme objet? y'a bien les cheependle et les calendriers des postes des rugby men, mais c'est encore un peu limité....;-)
ReplyDeleteQu’est-ce que c’est que croire aux sylphes et aux ondins, Astrale?
ReplyDeleteje ne sais pas, Scheiro, dis le moi?
ReplyDeleteComme la réponse ne peut pas tenir en qqs mots, Atrale, il faudrait que tu saches avant tout que la femme n'existe pas... dans l’inconscient.
ReplyDeleteBonne lecture ;-)